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Edito Février 2015 : Boko Haram ou la stratégie de la terreur

Le conflit armé entre la secte Boko Haram et l’État nigérian aurait fait, depuis 2009, plus de 13 000 morts et près d’un million et demi de réfugiés. L’insurrection menée par la secte islamiste Boko Haram menace de plus en plus la stabilité du Nigeria. A la veille des élections au Nigeria, la secte s’est lancée dans une véritable stratégie de la terreur.

Au début de l’année 2015, la secte Boko Haram a attaqué une base militaire de l’armée nigériane à Baga dans le nord-est du pays. Boko Haram a ensuite dévasté de nombreux villages, faisant des centaines de tués et des milliers de personnes obligées de quitter leurs villages.

Le gouvernement a d’abord nié l’évidence en parlant d’une centaine de tués. La diffusion d’images satellitaires par Amnesty international a néanmoins contraint le président nigérian Goodluck Jonathan à reconnaitre l’étendue des massacres et à se rendre sur les lieux. Amnesty International parle de 2 000 tués. C’est l’offensive la plus meurtrière menée par la secte depuis sa création en 2002. (…)


{{}}Article intégral

{{}} Article rédigé par Yves Thébault, administrateur du Cridev.

Edito Février 2015 : Boko Haram ou la stratégie de la terreur

mardi 3 février 2015, par cridev .

Le conflit armé entre la secte Boko Haram et l’État nigérian aurait fait, depuis 2009, plus de 13 000 morts et près d’un million et demi de réfugiés. L’insurrection menée par la secte islamiste Boko Haram menace de plus en plus la stabilité du Nigeria. A la veille des élections au Nigeria, la secte s’est lancée dans une véritable stratégie de la terreur.

Au début de l’année 2015, la secte Boko Haram a attaqué une base militaire de l’armée nigériane à Baga dans le nord-est du pays. Boko Haram a ensuite dévasté de nombreux villages, faisant des centaines de tués et des milliers de personnes obligées de quitter leurs villages.

Le gouvernement a d’abord nié l’évidence en parlant d’une centaine de tués. La diffusion d’images satellitaires par Amnesty international a néanmoins contraint le président nigérian Goodluck Jonathan à reconnaitre l’étendue des massacres et à se rendre sur les lieux. Amnesty International parle de 2 000 tués. C’est l’offensive la plus meurtrière menée par la secte depuis sa création en 2002. (…)


{{}}Article intégral

{{}} Article rédigé par Yves Thébault, administrateur du Cridev.