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Le Cridev aujourd’hui

Aujourd’hui le CRIDEV signifie « Centre de Ressources et d’Interpellation pour un monde sans rapports de domination », nous nous définissons comme une association d’Éducation Populaire Politique. Nous traitons principalement les thématiques liées aux injustices sociales ici et là bas : les discriminations, l’interculturalité, les néo-colonialismes, les solidarités et mobilités internationales, les résistances citoyennes, les droits non respectés des populations opprimées.

Nos activités sont multiples :

- Nous accueillons tout à chacun-e dans notre Centre de Ressources lors des permanences, mais également lors des soirées « Causeries » thématiques organisées avec nos partenaires (Ex : soirée Françafrique, soirée discriminations de Genre, soirée Classisme avec ATD ¼ monde..).

- Nous sensibilisons à nos thématiques par des animations et formations différents publics (personnes qui partent à l’international, universitaires, scolaires, professionnels, volontaires, etc.)

- Nous agissons au côté de personnes opprimées pour les accompagner en fonction de leur demande (Ex : accompagnement des personnes en situation de Handicap de l’association AGIR sur les droits non respectés dans leur travail).

Consulter/télécharger notre plaquette d’informations au format PDF.

Le CRIDEV c’est en quelques mots :

 
 

Nos mots d’ordre : Informer, Comprendre, Agir.

Informer / Désinformer :

Notre centre de ressource met à disposition de tout-e-s et tous de l’information plurielle, critique et diversifiée (sous forme de livres, de revues, de BD, d’accès informatique, d’expositions, de jeux…), de situations d’ici ou d’ailleurs et surtout peu relayée par les médias mainstream, les institutions classiques ou dans nos livres d’histoire…

Comprendre (en formation / déformation) :

Analyser de manière complexe à travers des ateliers, des formations, des accompagnements individuels, des « soirées causeries* » les différents mécanismes et enjeux autour des interdépendances mondiales, des inégalités sociales, des discriminations, s’interroger sur la notion d’ethnocentrisme et de ses conséquences…Le tout afin de mettre en relief les diverses luttes ( leurs contradictions, leurs histoires, les rôles de chacun-e-s) tout en rendant visible leurs spécificités mais également nos points de convergences, nos communs. Ces phases de conscientisation sont conçues comme des espaces de travail pour s’outiller politiquement en vue de mener des actions collectives pertinentes.

Agir (actions / interpellations) :

Trouver des solutions de luttes et des solutions alternatives pour s’engager demain ici et ailleurs. Notre but : tendre à une transformation sociale sincère et profonde, sans langue de bois et dénuée de toute prédation.

 


De plus nous sommes membre du réseau national Ritimo, qui regroupe en France 90 lieux et organisations engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale et qui a un agrément Education Nationale et Education Populaire.

Ritimo est un réseau d’information et de documentation pour la solidarité et le développement durable. Il regroupe depuis 25 ans en France des lieux et des organisations (centres de documentation, lieux ressources, médias et projets documentaires en ligne…) engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale.
Le réseau Ritimo inscrit son action dans le courant altermondialiste, en participant à des collectifs au niveau français, en relayant localement et nationalement
des campagnes d’action et d’opinion, et en développant des projets communs avec des organisations de la société civile et des médias au niveau international.

Site internet Ritimo : http://www.ritimo.org/

 
 

Extraits des ORIENTATIONS DU RESEAU RITIMO A MOYEN TERME (2016-2020)

« Les réactions négatives aux principes du vivre-ensemble et de l’égalitarisme sont de plus en plus fortes, favorisées par les filtres d’un système médiatique qui parle de la sécurité sociale comme d’un déficit, de la migration comme d’une invasion, de la vente d’avions de chasse comme d’une réussite économique.
Dans un tel contexte, l’injonction morale n’est pas une réponse suffisante et peut même être contre-productive. En revanche, la référence éthique reste indispensable. Les standards progressistes doivent être réactualisés au niveau des concepts (transitions, biens communs, « care », liberté de circulation et droit à la mobilité...). Ils doivent aussi être expérimentés et mis en valeur concrètement, par l’interpellation des politiques, comme dans les projets mis en œuvre par la société civile. Ils doivent enfin être transmis avec des pédagogies adaptées.
C’est tout le discours internationaliste et solidaire qui doit être renouvelé et c’est un immense défi posé à tous les acteurs de la solidarité transformatrice dont Ritimo fait partie. »